Concernant mes écrits, ma façon d’écrire, Thierry me conseille de me focaliser sur trois choses :

·    Le message que je veux faire passer.

·    La population à qui ce message s’adresse, et dans quel but.

·    La qualité énergétique que je mets dans l’écriture.

En fait, quand j’écris, je ne me focalise sur aucune des ces trois choses, je suis simplement mon inspiration du jour, et comme j’ai le besoin d’incertitude, elle peut être très différente d’un jour à l’autre.

C’est pourquoi, si je voulais faire un livre de ce que j’écris en ce moment, je pense que je le ferais dans le style du Guide du bonheur, des petits chapitres indépendants les uns des autres, sur des sujets divers, même s’il y a peut-être un thème commun.

C’est pour cela que j’ai mis des années à écrire Marlène ou le jeu de la vie, parce que j’avais écrit tous ces textes sans aucun liens entre eux, et il m’a fallu trouver des liens, parfois très tirés par les cheveux, pour en faire un roman.

Quand j’écris, je ne pense pas à faire passer un message. Mais quand je me relis, je me dis c’est pas mal, ça pourrait plaire à des gens.

A qui cela s’adresse, je ne sais pas : peut-être à ceux qui se sont déjà posé ce genre de questions ?

Dans quel but ?

Voici ce qui figure sur le dos de Regarder la vie, cela me semble toujours valable pour tout ce que j’écris :

« En partageant des idées, des observations, des visions qui ont inspiré ma vie, et les réflexions qu’elles ont suscitées, le propos de ces livres est de réjouir le cœur, pas de nourrir le mental. Pointant vers l’essence des choses, ces courts textes vous invitent à observer, expérimenter, ressentir… et comprendre par vous-mêmes. Puissent-ils vous éveiller à des réalités et des possibilités insoupçonnées et vous permettre d’accéder à une dimension d’être où la paix et le bonheur remplacent le stress et l’anxiété. »

La qualité énergétique ? Qu’est-ce que cela signifie ?

S’il y a une qualité énergétique, ou vibratoire, dans ce qu’on écrit, cela signifierait que nos écrits ont un impact au-delà du niveau mondain et matériel de la 3D, et de notre monde commercial.

Le nombre de lecteurs, qui préoccupe beaucoup Mika, est-il vraiment important ?

Qu’on en ait 20, comme moi sur mon blog, ou 8000 comme Mika sur Telegram et Johann sur son site, cela reste assez insignifiant par rapport à la population mondiale. 

La diffusion de ce que j’écris n’a peut-être pas tellement d’importance. Mika disait qu’il ne servait à rien d’écrire si on n’était pas lu, et que mettre des articles sur un blog qui n’a que 20 abonnés est du temps perdu. Je ne suis pas d’accord. Le plus important, c’est déjà de faire quelque chose que j’aime, me faire plaisir et rester authentique. Ce qu’on écrit a peut-être un plus grand impact au niveau énergétique ou vibratoire dans l’univers qu’au niveau mondain sur la Terre.

Mais une idée, même si on ne la diffuse pas, a peut-être une influence sur la fréquence vibratoire de l’univers. Le tout, c’est d’avoir cette idée !

Je me demandais, si on part dans cette direction, qui anéantit toute velléité de faire du marketing, s’il était bon d’ancrer ces idées dans un support symbolique, matériel ou virtuel, par exemple un document écrit, un site web, ou même un fichier sur le cloud, qui irradie la vibration (ou la lumière de sagesse).

C’est un concept que j’avais développé il y a plus de 20 ans, quand je faisais de l’art extra-sensoriel, et que j’installais des structures de lumière, que j’ancrais dans de petits objets symboliques.

C’est plutôt dans ce sens que j’aimerais me diriger.

21 août 2021, Khanom